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PARIS, France, le 28 Février 2023 -/African Media Agency (AMA)/-Thales poursuit ses recrutements en 2023, après une année record en 2022  

  • En 2023, Thales prévoit de recruter plus de 12 0001 collaborateurs pour soutenir sa forte dynamique de croissance dans ses trois secteurs d’activité : Aérospatial, Défense et Sécurité  et Identité et Sécurité Numérique. 
  • Le Groupe embauche partout dans le monde, avec notamment 5 500 recrutements prévus  en France, 1 050 au Royaume-Uni, 600 en Australie, 550 en Inde et 540 aux Etats-Unis. 
  • Ces perspectives d’embauches font suite à :  

o Un nombre record de 11 500 recrutements en 2022, en augmentation de 50% par  rapport à 2021.  

o Une période COVID durant laquelle le Groupe a réussi à préserver ses emplois, en réaffectant notamment les compétences aéronautiques impactées par la crise  sanitaire vers ses autres métiers.  

o 8 années consécutives (de 2015 à 2022) pendant lesquelles Thales a embauché au  moins 5 000 personnes par an. 

Thales recrute des profils variés, à la fois en R&D et dans l’industrie

  • Dans ses trois secteurs d’activité, Thales recrute dans tous les métiers, et en particulier :  o En Recherche et Développement (40% des embauches), sur des postes en  ingénierie logicielle et systèmes, cybersécurité, intelligence artificielle… ;  

o Dans l’Industrie (20%), sur des postes en chaîne d’approvisionnement, production  électronique, production mécanique… 

  • Thales se mobilise pour plus de mixité de ses équipes. En 2022, les femmes ont représenté  32 % des recrutements dans le monde ; et 27 % de l’effectif mondial du Groupe (contre  23,8% en 2018). 
  • Par ailleurs, Thales accorde une attention particulière au recrutement d’apprentis et de  stagiaires, notamment en France, où le Groupe va embaucher en 2023 près de 4 000  étudiants, en plus des 5 500 embauches prévues dans l’Hexagone. Il s’agit, pour ces jeunes,  d’un vrai tremplin vers l’emploi : chaque année, en France, environ 40% des stagiaires et  alternants sont recrutés en CDD/CDI dans l’ingénierie. 

Thales, laboratoire du futur dans 68 pays  

  • L’innovation chez Thales vise à apporter à chaque individu un avenir de confiance. Elle est portée par 35 000 femmes et hommes ingénieurs impliqués dans la R&D, et 20 000 brevets dans des domaines spécialisés tels que le quantique, l’IA, les lasers ou encore la  cybersécurité. En 2023, Thales est reconnu pour la 10ème année comme l’une des 100  entreprises les plus innovantes au monde, d’après le palmarès de référence mondiale  «Clarivate».  
  • Thales propose des parcours de carrière sur le long-terme, très diversifiés et favorisés par  la grande variété de ses activités, ainsi que son ancrage industriel et académique dans 68 pays. Thales s’implique également dans l’inclusion et notamment l’ouverture des métiers de  l’ingénierie à des profils plus diversifiés. 

« Nos métiers offrent du sens, en particulier dans les périodes de transformations que  nous vivons actuellement. Mobiliser l’intelligence humaine et la haute technologie au  service du progrès de nos sociétés est une motivation quotidienne de nos équipes, partout dans le monde. Nous rejoindre, c’est participer à de grandes aventures  

humaines dans le domaine des hautes technologies, au sein d’un environnement  apprenant qui privilégie le collectif ». 

Patrice Caine, Président-directeur général de Thales 

1Tous les chiffres de ce communiqué sont hors activité Transport – en cours de cession

Distribué par African Media Agency (AMA) pour Thales.

À propos de Thales  

Thales (Euronext Paris : HO) est un leader mondial des hautes technologies qui investit  dans les innovations du numérique et de la « deep tech » – connectivité, big data,  intelligence artificielle, cybersécurité et quantique – pour construire un avenir de  confiance, essentiel au développement de nos sociétés. Le Groupe propose des  solutions, services et produits qui aident ses clients – entreprises, organisations, États – 

dans les domaines de la défense, de l’aéronautique, de l’espace, du transport et de  l’identité et sécurité numériques, à remplir leurs missions en plaçant l’humain au cœur  des décisions. 

Thales compte 77 000² collaborateurs répartis dans 68 pays. En 2021, le Groupe a  réalisé un chiffre d’affaires de 16,2 milliards d’euros. 

² Hors activité Transport – en cours de cession

Contact Presse 

Thales, Relations Médias 

Philomène Emptaz 

+33 (0)6 59 06 98 76 

philomene.emptaz@thalesgroup.com

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Source : African Media Agency (AMA)

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© UNECE/Daniel Getachew – Amina Mohammed, Vice-Secrétaire générale de l’ONU, rencontre des élèves de l’Ecole Pays-Bas de Niamey, au Niger

New York, USA, le 02 Mars, 2023/African Media Agency(AMA)/Lors de sa visite d’une école du Niger reconstruite et modernisée, Amina Mohammed, Vice-Secrétaire générale de l’ONU, a loué la priorité que revêt l’éducation dans ce pays et applaudi l’approche solidaire et coordonnée du gouvernement et des multiples partenaires pour cette stratégie de grande envergure.  

« Il y a près de deux ans, une tragédie a frappé cette communauté », a rappelé Amina Mohammed, en montrant au public les 21 arbres qui ornent la cour de cette école de Niamey. La Vice-Secrétaire générale de l’ONU, en visite dans la capitale du Niger à l’occasion d’un forum régional sur le développement durable, avait tenu à se rendre à l’Ecole Pays-Bas de la ville, modèle des politiques éducatives du gouvernement nigérien et de l’engagement international pour l’essor de l’apprentissage scolaire dans ce pays, mais aussi le lieu d’un terrible drame survenu le 13 mai 2021.  

Un modèle de coopération 

Les arbres de la cour, plantés depuis lors avec l’aide de l’ONU, honorent chacun la mémoire d’un des 21 enfants de maternelle, 9 garçons et 12 filles, morts ce jour-là dans l’incendie de leur salle de classe en paillotte, à base de paille trop inflammable.  

Si les causes de l’accident, peut-être dû à des fils électriques de la route voisine et à l’extrême chaleur durant cette journée, n’ont pu être clairement élucidées, l’Ecole Pays-Bas a mis en lumière les contraintes de l’essor de l’enseignement dans un pays qui y consacre 20% de son budget, un montant qui dépasse de loin celui de sa défense et rivalise avec celui des infrastructures publiques. 

Alors qu’un demi-million de nouveaux élèves commencent l’école primaire chaque année, les constructions de classes neuves ne peuvent suivre le rythme, et 36.000 salles en paillotte assurent encore l’accueil des enfants, et, comme le rappelle la Vice-Secrétaire générale, ne constituent ni un espace sur ni un environnement propice au développement des compétences nécessaires dans le monde d’aujourd’hui.   

« Le défi du remplacement de ces structures ne peut être relevé par un simple partenaire, a constaté Amina Mohammed, rappelant, devant les nouveaux bâtiments, que l’Ecole Pays-Bas est le modèle de ce qui peut être réalisé lorsque les acteurs clés s’unissent pour aider gouvernement à promouvoir des approches créatives et audacieuses assurant que tous les enfants ont accès à un environnement d’apprentissage sûr qui les prépare pour l’avenir ».  

Un vaste plan de reconstructions d’écoles 

Dans les mois suivant l’incendie, l’UNICEF a construit 21 classes dans l’école Gamkalé voisine et permis la reconstruction de « Pays-Bas » pour quelque 1800 élèves, fournissant près de mille bancs et pupitres, tableaux et bureaux ainsi que 4000 kits scolaires et 2000 cartables, pour un coût total de 600.000 dollars financés par le Thematic Fund for Education de la Norvège. Avec l’aide de l’ONG italienne Coopi, elle a assuré le suivi psychosocial de 60 enseignants et élèves témoins du drame, avant de lancer une campagne nationale avec le gouvernement du Niger et le soutien de la Banque mondiale pour le remplacement des paillottes.   

En novembre 2021, un incendie similaire à eu lieu à Maradi, causant la mort de 20 élèves et de graves blessures à 14 autres. Alors qu’il faudrait construire chaque année 3000 classes en dur pour accueillir le flot des nouveaux élèves, l’UNICEF, avec le gouvernement du Niger et divers partenaires, s’attache à bâtir de nouvelles écoles pragmatiques, écologiques et durables construites de préférence avec des matériaux locaux et à explorer des modes d’enseignement alternatifs adaptés aux réalités du pays. Cet effort s’accompagne d’une formation généralisée du personnel à la sécurité et de la mise en place de la Stratégie Nationale de Réduction de la Vulnérabilité du Système Educatif.  

© UNECE/Daniel Getachew – La numéro 2 de l’ONU parlant avec des jeunes filles à l’Ecole Pays-Bas de Niamey

Un centre numérique et de formation 

« La mobilisation des soutiens a également été l’occasion d’apporter des solutions innovantes à cette école, a ajouté Amina Mohammed, rappelant que grâce à l’approche ‘One UN’, l’ONU et le PNUD en partenariat avec l’Agence nationale pour la société de l’information (ANSI), ont mis en place en 2022 un centre communautaire numérique, un hotspot Internet accessible à la communauté locale, doublé d’un centre d’apprentissage à la bureautique, l’infographie, la gestion des médias sociaux, la cybersécurité, la maintenance informatique et l’impression en 3D. L’école assure aussi la formation à l’informatique de 40 enseignants, 36 femmes et 4 hommes, qui à leur tour assureront l’initiation des élèves. Ce projet mené par le gouvernement vise à installer progressivement ces solutions innovantes dans tout le pays, une vision inspirante qui, rappelle Amina Mohammed « nécessitera des ressources et un soutien sans faille de partenaires ». 

« La réalisation des objectifs en matière d’éducation, pour tous les garçons et toutes les filles, nécessite une approche holistique allant au-delà des infrastructures et des équipements », a rappelé la Vice-Secrétaire générale. Cela nécessite des programmes améliorés, un nombre suffisant d’enseignants ayant des compétences accrues, la santé scolaire et la nutrition dans les écoles, y compris les repas scolaires. Il faut également augmenter l’échelle des programmes intégrés et efficaces de résilience et de réduction de la pauvreté. Et veiller à ce que la génération d’élèves ne soit pas exclue de l’éducation dans les zones fragiles ». Au Niger, dans les quatre régions Diffa, Maradi, Tahoua, Tillabéry, 768 écoles au total ont été fermées en raison de l’insécurité, privant plus de 64.300 élèves, dont près de 31.300 filles, d’éducation. 

© UNICEF/ Frank Dejongh – Des enfants avec leurs tablettes dans le village de Safi au Niger

Protection de filles et problème démographique 

Amina Mohammed a poursuivi sa visite par un dialogue avec de jeunes filles nigériennes pour aborder les problèmes cruciaux des femmes du pays. 

Près de la moitié (52%) de la population nigérienne (23,6 millions en 2021) a moins de 15 ans. Les indicateurs liés aux Objectifs de développement durable sont parmi les plus alarmants au monde et sont bien pires dans les zones rurales où vit environ 80% de la population.  

Alors que le monde s’est engagé à mettre fin au mariage des enfants d’ici 2030, la situation reste préoccupante même si la proportion de jeunes femmes mariées avant l’âge de 18 ans est passée de 76% en 2012 à 62% en 2021. 

Le pays connait le taux de grossesses chez les adolescentes le plus élevé au monde (204/1000 femmes âgées de 15 à 19 ans, 2017). Parmi les femmes âgées de 20 à 24 ans, 48% ont accouché avant l’âge de 18 ans. Bien qu’en baisse, le taux de mortalité maternelle reste élevé à 520/100.000 naissances vivantes (2015). Quant au taux de mortalité néonatale (26 décès en moyenne pour 1.000 naissances vivantes) est plus élevé chez les enfants de mères de moins de 20 ans pauvres, sans instruction et vivant dans les zones rurales.  

Le taux de fécondité reste très élevé dans le pays (7,6 en 2012, 6,2 en 2021) et, combiné à une baisse du taux de mortalité, induit une forte dynamique démographique avec une croissance de 3,8% en 2019 et un taux de dépendance difficilement soutenable. Pour 100 actifs, le pays compte 109 personnes dépendantes, de moins de 14 ans ou de plus de 65 ans. 

Pour faire face à cette situation, le gouvernement nigérien a prévu de mettre en œuvre le projet d’internat ouvert aux jeunes filles des zones rurales et nomades en raison de leur plus grande vulnérabilité. Il s’inscrit dans un plan de transition de l’éducation nationale avec une stratégie globale d’amélioration de la qualité de l’éducation au Niger, dont le budget éducation devrait augmenter de 25% avant 2026.  

« A la suite du Sommet sur la transformation de l’éducation, nous avons fixé des objectifs ambitieux pour l’éducation, a assuré la Vice-Secrétaire générale, parce que nous reconnaissons que lorsque les jeunes sont dotés de compétences et de connaissances pertinentes, ils peuvent devenir des agents de changement pour eux-mêmes, leurs familles et leurs communautés, ainsi que des acteurs du développement durable de leur pays ». 

Distribué par  African Media Agency pour Onu Info

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Source : African Media Agency (AMA)

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by Shabir Ahmed, Industry Advisor: Energy & Resources at SAP Africa

JOHANNESBURG, South Africa, 01 March 2023 -/African Media Agency(AMA)/- A growing wealth of evidence shows that sustainability has become a mainstream business and societal issue. Leading companies are embracing sustainability not only to reduce harmful practices but also to accelerate business transformation while protecting and creating value.

Bloomberg reports that the value of total ESG assets may reach $50-trillion by 2025, accounting for a third of total assets under management globally. This is nearly double the $22.8-trillion in ESG assets under management in 2016. 

Effective sustainability-led business transformation creates long-term value for organisations as well as the communities and environment in which they operate. And when sustainability is embraced, it drives innovation across the business, leading to benefits for employees, customers, communities and investors.

However, there isn’t really a template for sustainability that can be repeated across businesses and industries. Each business needs to find tailored approaches to sustainability that take into account its industry, customers, business model and geographical market. 

And nowhere is this more apparent than in the energy sector. 

Energy market shows complexity of sustainability

The latest data from the International Energy Agency shows the global consumer energy bill topped $10-trillion for the first time in 2022

Amid growing demand for reliable energy from a global population that has swelled past the eight billion mark and severe energy constraints resulting from the conflict in Ukraine, many countries have had to rethink their energy mix. 

At or near the top of priority lists is the transition to cleaner, more sustainable and less environmentally-damaging forms of power generation, mostly from renewable energy sources such as wind and solar. 

Calls for a ‘just transition’ have grown over the past few years as devastating storms, widespread flooding and extreme temperatures bring home the distinct dangers of a warming climate. 

The World Economic Forum reports that global energy investment reached $2.4-trillion in 2022, of which a record $1.4-trillion is investments into clean energy. However, most of that investment stemmed from more developed Western economies. 

In emerging markets, investments into clean energy are more complex, partly due to the availability of natural resources, where fossil fuels such as coal are easy to mine and readily available.

To achieve sustainability goals in emerging markets while still driving growth and economic progress, organisations need to develop smart, tailored strategies. But it can be challenging to understand where to start. 

Sustainability requires tailored strategies in emerging markets

Developed countries have already leveraged carbon-intensive forms of energy to build their industries and boost their economic growth. 

A transition to cleaner energy is arguably much easier in developed economies than their emerging market peers, where many of the developmental gains enjoyed by Western economies are still to be realised.

Much of Africa is still in a process of industrialisation and urbanisation, a transition that developed economies have long since completed. To build industries, support economic development and accommodate a rapidly growing population, African countries need access to affordable, readily available forms of energy.

This means that fossil fuels will likely remain a core part of the energy mix across much of Africa, especially in industries such as manufacturing and mining, where wind and solar power simply can’t provide the baseload energy needed for production. 

Take mining as an example. The mining industry has traditionally been among the leading consumers of energy. As energy capacity becomes increasingly constrained, especially in countries like South Africa, mining operations have had to reduce their reliance on the national grid and build their own stable power supply.

This has led to huge investment into solar energy as a means of keeping the lights on. The power generated through solar helps power mining fleets and support the running of the entire operation. Some mining companies have even invested in hydrogen-powered vehicles as a means of reducing reliance on the grid. 

However, solar power cannot provide the power needed for energy intensive processes such as smelting. For these processes, mines and manufacturers still need to rely on less sustainable forms of power.

Plotting a viable course for sustainability

Understanding the need to balance sustainability with business viability, how can African organisations start their journey toward sustainability in a way that still drives successful business outcomes?

Firstly, sustainability does not mean sacrificing profits. In fact, companies that successfully integrate sustainability into their strategies can potentially unlock a broad range of benefits, including increased revenue, reduced material expenses, reduced utility and fuel expenses, greater employee productivity and talent retention, and reduced hiring expenses. 

Secondly, companies that can effectively manage their ESG (Environmental, Societal and Governance) risks can see a boost to their reputation, improved management of tax costs, and greater scope for investment to unlock long-term value. Incorporating sustainability into the core business strategy therefore holds the potential to deliver immense benefits, and should be a top priority for business leaders.

Third, when developing a business case for sustainability, organisations need to take a three- to five-year approach, which provides enough time to allow for new initiatives to gain the traction needed to yield results. The business case should be developed in alignment with core elements of the company income statement to ensure each sustainability benefit is directly tied to a measurable business outcome.

Funding for sustainability initiatives should come from existing line items in operational budgets, similar to how aspects such as marketing, education, and communication are budgeted for. Savings achieved through reduced material and utility expenses or reduced hiring expenses can be allocated to fund further sustainability efforts, unlocking additional cost savings.

Finally, organisations should understand that remaining trapped in the inertia created by unsustainable business models will make it difficult to succeed as they lose loyalty, talent, customers and market share to their more sustainable peers. By proactively making sustainability a core part of their business strategy, African organisations can discover new sources of competitive advantage for all stakeholders.

Distributed by African Media Agency (AMA) on behalf of SAP Africa.

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About SAP 

SAP’s strategy is to help every business run as an intelligent, sustainable enterprise. As a market leader in enterprise application software, we help companies of all sizes and in all industries run at their best: SAP customers generate 87% of total global commerce. Our machine learning, Internet of Things (IoT), and advanced analytics technologies help turn customers’ businesses into intelligent enterprises. SAP helps give people and organizations deep business insight and fosters collaboration that helps them stay ahead of their competition. We simplify technology for companies so they can consume our software the way they want – without disruption. Our end-to-end suite of applications and services enables business and public customers across 25 industries globally to operate profitably, adapt continuously, and make a difference. With a global network of customers, partners, employees, and thought leaders, SAP helps the world run better and improve people’s lives. For more information, visit www.sap.com.   

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Delia Sieff, SAP Africa, +27 (11) 235 6000, delia.sieff@sap.com  

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Source : African Media Agency (AMA)

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