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Afrobarometer a publié juste avant la Conférence des Nations Unies sur les Changements Climatiques (COP27) de 2022, les cartes pays qui donne un aperçu de la sensibilisation des Africains aux changements climatiques, de leurs expériences face à la détérioration des conditions météorologiques et de leurs attentes en matière de réponse à la crise.

Trois grands enseignements ressortent de cette étude :

• En moyenne dans les 20 pays sondés, seulement la moitié (51 %) des citoyens sont conscients des changements climatiques. La sensibilisation atteint 74 % au Malawi, 73 % à Maurice et 70 % au Gabon, alors que seuls, deux Tunisiens sur 10 (22 %) sont conscients des changements climatiques.

• Dans 8 pays sur 20 sondés, la majorité des répondants signalent que les sécheresses se sont aggravées au cours de la dernière décennie. De grandes majorités voient une aggravation de la sécheresse à Madagascar (86%), au Niger (72 %) et en Tunisie (69 %).

• Les Basotho (73 %), les Mauriciens (68 %) et les Nigériens (64 %) sont les plus préoccupés par l’aggravation des inondations.

• La plupart des citoyens ne sont pas satisfaits des efforts fournis par les diverses parties prenantes dans la lutte contre les changements climatiques et ses effets, et exigent « beaucoup plus » de leurs gouvernements, des entreprises et industries, des pays développés et des citoyens ordinaires.

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Afrobarometer a publié juste avant la Conférence des Nations Unies sur les Changements Climatiques (COP27) de 2022, les cartes pays qui donne un aperçu de la sensibilisation des Africains aux changements climatiques, de leurs expériences face à la détérioration des conditions météorologiques et de leurs attentes en matière de réponse à la crise.

Trois grands enseignements ressortent de cette étude :

• En moyenne dans les 20 pays sondés, seulement la moitié (51 %) des citoyens sont conscients des changements climatiques. La sensibilisation atteint 74 % au Malawi, 73 % à Maurice et 70 % au Gabon, alors que seuls, deux Tunisiens sur 10 (22 %) sont conscients des changements climatiques.

• Dans 8 pays sur 20 sondés, la majorité des répondants signalent que les sécheresses se sont aggravées au cours de la dernière décennie. De grandes majorités voient une aggravation de la sécheresse à Madagascar (86%), au Niger (72 %) et en Tunisie (69 %).

• Les Basotho (73 %), les Mauriciens (68 %) et les Nigériens (64 %) sont les plus préoccupés par l’aggravation des inondations.

• La plupart des citoyens ne sont pas satisfaits des efforts fournis par les diverses parties prenantes dans la lutte contre les changements climatiques et ses effets, et exigent « beaucoup plus » de leurs gouvernements, des entreprises et industries, des pays développés et des citoyens ordinaires.

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Afrobarometer a publié juste avant la Conférence des Nations Unies sur les Changements Climatiques (COP27) de 2022, les cartes pays qui donne un aperçu de la sensibilisation des Africains aux changements climatiques, de leurs expériences face à la détérioration des conditions météorologiques et de leurs attentes en matière de réponse à la crise.

Trois grands enseignements ressortent de cette étude :

• En moyenne dans les 20 pays sondés, seulement la moitié (51 %) des citoyens sont conscients des changements climatiques. La sensibilisation atteint 74 % au Malawi, 73 % à Maurice et 70 % au Gabon, alors que seuls, deux Tunisiens sur 10 (22 %) sont conscients des changements climatiques.

• Dans 8 pays sur 20 sondés, la majorité des répondants signalent que les sécheresses se sont aggravées au cours de la dernière décennie. De grandes majorités voient une aggravation de la sécheresse à Madagascar (86%), au Niger (72 %) et en Tunisie (69 %).

• Les Basotho (73 %), les Mauriciens (68 %) et les Nigériens (64 %) sont les plus préoccupés par l’aggravation des inondations.

• La plupart des citoyens ne sont pas satisfaits des efforts fournis par les diverses parties prenantes dans la lutte contre les changements climatiques et ses effets, et exigent « beaucoup plus » de leurs gouvernements, des entreprises et industries, des pays développés et des citoyens ordinaires.

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NSIA Banque CI affiche une bonne performance avec un Produit Net Bancaire en hausse de 5 % et une hausse du profit net de 3% à fin septembre 2022.

Le produit net bancaire est en hausse de 5 % par rapport à la même période en 2021 pour s’établir à 56,843 milliards. Ses composantes que sont la marge nette d’intérêt et les commissions ont évolué dans le même sens. En effet, la marge nette d’intérêt, connaît une croissance de 3 % et s’établit à 40,9 milliards FCFA au 30 septembre 2022 contre 39,8 milliards FCFA au 31 septembre 2021. De même, les commissions augmentent de 12 % en raison d’une hausse sur l’activité de change. Ils passent de 14,3 milliards FCFA au 30 septembre 2021 à 15,9 milliards FCFA au 30 septembre 2022.

Le résultat avant impôt recule de 12 % comparé à septembre 2022 et s’élève à 16 milliards FCFA. Par conséquent, la banque réalise un résultat net bénéficiaire de 15,100 milliards FCFA en progression de 3 % en glissement annuel.

Les encours d’emplois sont en hausse de 4% par rapport à 2021. Ils s’établissent à 1,078 milliard FCFA. Ils sont portés essentiellement par les avances à court et moyen terme et le crédit-bail. En revanche, les encours de ressources s’établissent à 1,123 milliard FCFA. Ils correspondant à une baisse de 1 % par rapport à décembre 2021 en raison du recul des encours des dépôts à vue.

Pour l’équipe dirigeante, plusieurs perspectives sont à noter pour le 4e trimestre. Il s’agit d’abord de la poursuite des actions planifiées dans le cadre de son Plan Stratégique « Altitude 22-26“. Ensuite, maintenir la croissance soutenue des emplois ainsi que celle des commissions. De plus, il s’agira également d’intensifier les actions de recouvrement afin de réduire significativement les créances en souffrance. Enfin, définir des actions combinées à la maîtrise continue des frais de gestion et du coût net du risque pour l’atteinte des objectifs annuels.

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Afrobarometer a publié juste avant la Conférence des Nations Unies sur les Changements Climatiques (COP27) de 2022, les cartes pays qui donne un aperçu de la sensibilisation des Africains aux changements climatiques, de leurs expériences face à la détérioration des conditions météorologiques et de leurs attentes en matière de réponse à la crise.

Trois grands enseignements ressortent de cette étude :

• En moyenne dans les 20 pays sondés, seulement la moitié (51 %) des citoyens sont conscients des changements climatiques. La sensibilisation atteint 74 % au Malawi, 73 % à Maurice et 70 % au Gabon, alors que seuls, deux Tunisiens sur 10 (22 %) sont conscients des changements climatiques.

• Dans 8 pays sur 20 sondés, la majorité des répondants signalent que les sécheresses se sont aggravées au cours de la dernière décennie. De grandes majorités voient une aggravation de la sécheresse à Madagascar (86%), au Niger (72 %) et en Tunisie (69 %).

• Les Basotho (73 %), les Mauriciens (68 %) et les Nigériens (64 %) sont les plus préoccupés par l’aggravation des inondations.

• La plupart des citoyens ne sont pas satisfaits des efforts fournis par les diverses parties prenantes dans la lutte contre les changements climatiques et ses effets, et exigent « beaucoup plus » de leurs gouvernements, des entreprises et industries, des pays développés et des citoyens ordinaires.

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Afrobarometer a publié juste avant la Conférence des Nations Unies sur les Changements Climatiques (COP27) de 2022, les cartes pays qui donne un aperçu de la sensibilisation des Africains aux changements climatiques, de leurs expériences face à la détérioration des conditions météorologiques et de leurs attentes en matière de réponse à la crise.

Trois grands enseignements ressortent de cette étude :

• En moyenne dans les 20 pays sondés, seulement la moitié (51 %) des citoyens sont conscients des changements climatiques. La sensibilisation atteint 74 % au Malawi, 73 % à Maurice et 70 % au Gabon, alors que seuls, deux Tunisiens sur 10 (22 %) sont conscients des changements climatiques.

• Dans 8 pays sur 20 sondés, la majorité des répondants signalent que les sécheresses se sont aggravées au cours de la dernière décennie. De grandes majorités voient une aggravation de la sécheresse à Madagascar (86%), au Niger (72 %) et en Tunisie (69 %).

• Les Basotho (73 %), les Mauriciens (68 %) et les Nigériens (64 %) sont les plus préoccupés par l’aggravation des inondations.

• La plupart des citoyens ne sont pas satisfaits des efforts fournis par les diverses parties prenantes dans la lutte contre les changements climatiques et ses effets, et exigent « beaucoup plus » de leurs gouvernements, des entreprises et industries, des pays développés et des citoyens ordinaires.