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L’agence de notation a confirmé la notation de défaut à long terme des émetteurs en devises étrangères et locales (IDR) de Bank of Africa (BOA) à « BB » avec des perspectives stables.

L’agence de notation a conservé la notation de la BOA à BB. L’agence explique le maintien de cette notation par un risque modéré de soutien du souverain marocain (BB+/Stable), compte tenu de l’importance systémique de la BOA en tant que troisième banque marocaine, et des limites de la flexibilité financière du souverain.

La BOA est classée comme banque d’importance systémique sur le marché marocain avec 13 % de part sur le marché marocain. De plus, elle opère dans 32 pays qui contribuent à hauteur de 47 % de son résultat net au premier semestre 2021. Le second point positif est l’amélioration du profil de risque de la banque grâce à une harmonisation des contrôles des risques au sein du groupe et une approche prudente de la croissance. Par ailleurs, l’agence a noté une amélioration de la rentabilité de la banque. En effet, le ratio bénéfice d’exploitation/actifs pondéré est revenu à 1,7 % au premier semestre 2021 contre 0,7 % en 2020, principalement. De plus, le coefficient d’exploitation de BOA était de 53 % au premier semestre (contre 49 % en moyenne pour le secteur). De plus, le coefficient d’exploitation de BOA était de 53 % au premier semestre (contre 49 % en moyenne pour le secteur).

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BAMAKO , Mali , Le 15 Février 2022 -/African Media Agency(AMA)/-Les mécanismes de gestion des mouvements externes des personnes détenues, étaient au cœur d’un atelier à Tombouctou. Visant une trentaine d’éléments de la Police, la Gendarmerie, la Garde nationale, la Protection civile et l’Administration pénitentiaire, cet atelier de formation a eu lieu du 09 au 11 février dernier, au Conseil régional de Tombouctou. Il a été organisé par la Section des Affaires judiciaires et pénitentiaires (SAJP) de la MINUSMA, en partenariat avec la Direction régionale de l’Administration pénitentiaire et de l’Éducation surveillée (DRAPES).

Durant trois jours, à travers des sessions théoriques et pratiques, les participants ont vu leurs capacités renforcées en matière de transferts et d’extractions judiciaires des détenus, ainsi que sur les différentes modalités de leur exécution et sur la règlementation en vigueur. « Nous avons beaucoup de problèmes avec les détenus et aussi les agents au cours des escortes de détenus et même à la suite de leur conduite dans les centres de Santé. Cette initiative permettra d’interpeler les acteurs concernés sur leur rôle et leur responsabilité, mais aussi de les outiller afin de résoudre cette problématique, » a déclaré Harouna TANGARA, Directeur régional de la DRAPES à Tombouctou.

Cet appui de la MINUSMA s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique pénitentiaire au Mali et ce, conformément à la Résolution 2584 (2021) qui lui demande de soutenir le gouvernement malien à mettre en œuvre l’Accord pour la Paix et la réconciliation nationale au Mali. « L’une des missions prioritaires de la MINUSMA est d’appuyer les efforts du gouvernement visant à rétablir et étendre l’autorité de l’État et l’État de droit, au nord du pays et en particulier d’appuyer la mise en œuvre des mesures de réconciliation et de justice énoncées dans l’Accord issu du processus d’Alger. Ces mesures incluent le renforcement des institutions pénitentiaires y compris la formation des acteurs de la chaine pénale. Il ne peut y avoir de retour de l’autorité étatique, sans la composante pénitentiaire dont la mission principale est d’assurer la sécurité, non seulement des détenus mais aussi du personnel qui y travaille, » a rappelé Mehdi CHAOUCH, Officier des Affaires pénitentiaires de la MINUSMA à Tombouctou.

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BAMAKO , Mali , Le 15 Février 2022 -/African Media Agency(AMA)/-Les mécanismes de gestion des mouvements externes des personnes détenues, étaient au cœur d’un atelier à Tombouctou. Visant une trentaine d’éléments de la Police, la Gendarmerie, la Garde nationale, la Protection civile et l’Administration pénitentiaire, cet atelier de formation a eu lieu du 09 au 11 février dernier, au Conseil régional de Tombouctou. Il a été organisé par la Section des Affaires judiciaires et pénitentiaires (SAJP) de la MINUSMA, en partenariat avec la Direction régionale de l’Administration pénitentiaire et de l’Éducation surveillée (DRAPES).

Durant trois jours, à travers des sessions théoriques et pratiques, les participants ont vu leurs capacités renforcées en matière de transferts et d’extractions judiciaires des détenus, ainsi que sur les différentes modalités de leur exécution et sur la règlementation en vigueur. « Nous avons beaucoup de problèmes avec les détenus et aussi les agents au cours des escortes de détenus et même à la suite de leur conduite dans les centres de Santé. Cette initiative permettra d’interpeler les acteurs concernés sur leur rôle et leur responsabilité, mais aussi de les outiller afin de résoudre cette problématique, » a déclaré Harouna TANGARA, Directeur régional de la DRAPES à Tombouctou.

Cet appui de la MINUSMA s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique pénitentiaire au Mali et ce, conformément à la Résolution 2584 (2021) qui lui demande de soutenir le gouvernement malien à mettre en œuvre l’Accord pour la Paix et la réconciliation nationale au Mali. « L’une des missions prioritaires de la MINUSMA est d’appuyer les efforts du gouvernement visant à rétablir et étendre l’autorité de l’État et l’État de droit, au nord du pays et en particulier d’appuyer la mise en œuvre des mesures de réconciliation et de justice énoncées dans l’Accord issu du processus d’Alger. Ces mesures incluent le renforcement des institutions pénitentiaires y compris la formation des acteurs de la chaine pénale. Il ne peut y avoir de retour de l’autorité étatique, sans la composante pénitentiaire dont la mission principale est d’assurer la sécurité, non seulement des détenus mais aussi du personnel qui y travaille, » a rappelé Mehdi CHAOUCH, Officier des Affaires pénitentiaires de la MINUSMA à Tombouctou.

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