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AMSTERDAM, Pays-Bas, le 19 Mai, 2021 -/African Media Agency(AMA)/- Les startups sont sur le point d’explorer un monde de possibilités dans l’industrie de la peinture et du revêtement – la deuxième édition du concours mondial de startups « Peindre le Futur » a débuté le 18 mai. Piloté par AkzoNobel (AKZA; AKZOY) et soutenu par des milliers de contributeurs dans le monde entier, « Peindre le Futur » est désormais l’un des plus grands écosystèmes en matière d’innovation collaborative dans l’industrie de la peinture et du revêtement.

Toutes les startups participantes pourront ainsi promouvoir leurs solutions dans ce secteur dynamique en tirant parti de la passion d’AkzoNobel pour la peinture, de son expertise, de ses connaissances, de ses ressources et de ses relations. Certaines d’entre elles pourront même dénicher d’excellentes opportunités de partenariat et d’investissements.

« Notre nouvelle stratégie d’entreprise consiste à s’appuyer sur nos solides fondations et à trouver de nouvelles façons de nous développer et d’innover », déclare Thierry Vanlancker, PDG d’AkzoNobel. « C’est pourquoi le moment est propice pour la tenue de la deuxième édition de notre concours mondial de startups. Nous sommes impatients de découvrir les collaborations potentielles que nous réservent les startups et qui nous aideront à donner vie aux surfaces de nos clients ».

Le programme 2021 repose sur le succès obtenu lors du lancement du concours « Peindre le Futur » de 2019, de deux défis régionaux de startups au Brésil et en Chine, de deux programmes de fournisseurs et d’autres collaborations d’AkzoNobel. Ces programmes ont déjà été couronnés de 18 solutions assez fructueuses.

« Peindre le Futur’ est notre écosystème dédié conçu pour encourager l’innovation dans le domaine des peintures et des revêtements », indique Klaas Kruithof, Directeur de la Technologie. « La première édition de notre concours mondial de startups était une innovation pour notre secteur et notre écosystème s’est développé de façon étonnante depuis lors pour compter 2 137 membres actifs. C’est un véritable tremplin d’idées qui rassemble un groupe diversifié de startups, de fournisseurs, d’universitaires et de clients.”

Présentation du programme 2021

Les startups seront invitées à soumettre des solutions relatives à cinq thématiques comportant des défis majeurs :
·      Fonctionnalité améliorée
·      Expérience client
·      Application intelligente
·      Solutions circulaires
·      Fabrication et chaîne d’approvisionnement intelligentes

Suite au lancement le 18 mai dernier, la réflexion et le perfectionnement des projets se poursuivront jusqu’au 20 juillet. Ensuite, les finalistes sélectionnés seront invités à un atelier de collaboration prévu pour fin 2021, où les lauréats seront annoncés.

Prêt à peindre le futur avec nous ? Pour rejoindre l’écosystème et trouver les dernières informations sur le concours mondial de start-ups de 2021, y compris le processus de soumission des projets, rendez-vous sur letspaintthefuture.com 

Les inscriptions sont acceptées du 18 Mai 2021 au 20 Juillet 2021 .

Distribué par African Media Agency pour AkzoNobel.

A propos d’AkzoNobel
Nous sommes les pionniers d’un monde qui offres des possibilités pour donner vie aux espaces, depuis plus de 200 ans. En tant qu’experts en revêtements, il y a de fortes chances que vous ne soyez jamais qu’à quelques mètres de l’un de nos produits. Nos clients à travers le monde font confiance à notre portefeuille de marques de classe mondiale, notamment Dulux, International, Sikkens et Interpon. Nous sommes présents dans plus de 150 pays et avons pour objectif de devenir le leader mondial du secteur. C’est ce que l’on peut attendre de la société de peintures la plus durable, qui invente l’avenir depuis plus de deux siècles.

Contact Médias:
AkzoNobel Media Relations
T: +31 (0)88 969 7833 

Contact: Hugo Stienstra
media.relations@akzonobel.com

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Source : African Media Agency (AMA)

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AMSTERDAM, Pays-Bas, le 19 Mai, 2021 -/African Media Agency(AMA)/- Les startups sont sur le point d’explorer un monde de possibilités dans l’industrie de la peinture et du revêtement – la deuxième édition du concours mondial de startups « Peindre le Futur » a débuté le 18 mai. Piloté par AkzoNobel (AKZA; AKZOY) et soutenu par des milliers de contributeurs dans le monde entier, « Peindre le Futur » est désormais l’un des plus grands écosystèmes en matière d’innovation collaborative dans l’industrie de la peinture et du revêtement.

Toutes les startups participantes pourront ainsi promouvoir leurs solutions dans ce secteur dynamique en tirant parti de la passion d’AkzoNobel pour la peinture, de son expertise, de ses connaissances, de ses ressources et de ses relations. Certaines d’entre elles pourront même dénicher d’excellentes opportunités de partenariat et d’investissements.

« Notre nouvelle stratégie d’entreprise consiste à s’appuyer sur nos solides fondations et à trouver de nouvelles façons de nous développer et d’innover », déclare Thierry Vanlancker, PDG d’AkzoNobel. « C’est pourquoi le moment est propice pour la tenue de la deuxième édition de notre concours mondial de startups. Nous sommes impatients de découvrir les collaborations potentielles que nous réservent les startups et qui nous aideront à donner vie aux surfaces de nos clients ».

Le programme 2021 repose sur le succès obtenu lors du lancement du concours « Peindre le Futur » de 2019, de deux défis régionaux de startups au Brésil et en Chine, de deux programmes de fournisseurs et d’autres collaborations d’AkzoNobel. Ces programmes ont déjà été couronnés de 18 solutions assez fructueuses.

« Peindre le Futur’ est notre écosystème dédié conçu pour encourager l’innovation dans le domaine des peintures et des revêtements », indique Klaas Kruithof, Directeur de la Technologie. « La première édition de notre concours mondial de startups était une innovation pour notre secteur et notre écosystème s’est développé de façon étonnante depuis lors pour compter 2 137 membres actifs. C’est un véritable tremplin d’idées qui rassemble un groupe diversifié de startups, de fournisseurs, d’universitaires et de clients.”

Présentation du programme 2021

Les startups seront invitées à soumettre des solutions relatives à cinq thématiques comportant des défis majeurs :
·      Fonctionnalité améliorée
·      Expérience client
·      Application intelligente
·      Solutions circulaires
·      Fabrication et chaîne d’approvisionnement intelligentes

Suite au lancement le 18 mai dernier, la réflexion et le perfectionnement des projets se poursuivront jusqu’au 20 juillet. Ensuite, les finalistes sélectionnés seront invités à un atelier de collaboration prévu pour fin 2021, où les lauréats seront annoncés.

Prêt à peindre le futur avec nous ? Pour rejoindre l’écosystème et trouver les dernières informations sur le concours mondial de start-ups de 2021, y compris le processus de soumission des projets, rendez-vous sur letspaintthefuture.com 

Les inscriptions sont acceptées du 18 Mai 2021 au 20 Juillet 2021 .

Distribué par African Media Agency pour AkzoNobel.

A propos d’AkzoNobel
Nous sommes les pionniers d’un monde qui offres des possibilités pour donner vie aux espaces, depuis plus de 200 ans. En tant qu’experts en revêtements, il y a de fortes chances que vous ne soyez jamais qu’à quelques mètres de l’un de nos produits. Nos clients à travers le monde font confiance à notre portefeuille de marques de classe mondiale, notamment Dulux, International, Sikkens et Interpon. Nous sommes présents dans plus de 150 pays et avons pour objectif de devenir le leader mondial du secteur. C’est ce que l’on peut attendre de la société de peintures la plus durable, qui invente l’avenir depuis plus de deux siècles.

Contact Médias:
AkzoNobel Media Relations
T: +31 (0)88 969 7833 

Contact: Hugo Stienstra
media.relations@akzonobel.com

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Bernabe Côte d’Ivoire le leader multi-spécialiste en Côte d’Ivoire dans le négoce de la quincaillerie professionnelle, du matériel industriel a enregistré des résultats financiers avec une augmentation du bénéfice net.

Le chiffre d’affaires de Bernabe Côte d’Ivoire est passé de 41,3 milliards FCFA en 2019 à 39,5 milliards FCFA en 2020. C’est une baisse de 1,814 milliards FCFA (-4 %). La valeur ajoutée a augmenté de 8 % pour atteindre 6,4 milliards FCFA en 2020. Cette hausse s’explique par une baisse de la production immobilisée (-27 % ) et les autres produits (-16 % ).

L’excédent brut d’exploitation est passé de 2,2 milliards en 2019 à 2,9 milliards FCFA . C’est une hausse de 8 %. Cette augmentation s’explique par une diminution des charges de personnel (-6 %). De plus, avec la hausse des reprises d’amortissements, provisions et dépréciations (+ 8%) et la baisse des dotations aux amortissements, aux provisions et aux dépréciations (-4%), le bénéfice d’exploitation a augmenté de 62 % à 1,5 milliards FCFA. Enfin, le profit net a augmenté de 24 % à 630 millions FCFA en 2020.

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Une délégation burkinabè est en séjour à Dakar pour s’inspirer de l’expérience sénégalaise en vue de mener à bien son projet de mise en place d’un Observatoire de la qualité des services financiers (OQSF).

Le Sénégal dispose d’une longue expérience de médiation dans les litiges opposant les citoyens et les promoteurs des services financiers.

Selon le Directeur exécutif de l’OQSF Sénégal, Habib Ndao, grâce au « travail important » abattu par son organisation, « les banques et les assurances ont fait des efforts importants et sont devenues plus réceptives qu’auparavant. Une clientèle exigeante et des produits nouveaux ont vu le jour. Nous avons réussi à dénouer des litiges financiers qui auraient pu atterrir devant les tribunaux. Donc l’expertise est là. »

Cela justifie l’intérêt du Burkina Faso dont une délégation d’une dizaine de personnes a rencontré, jeudi soir, les associations des consommateurs sénégalais et l’OQSF pour échanger sur les modalités de l’installation d’un Observateur de la qualité des services financiers, l’identification et l’exploration des pistes de collaboration.

La rencontre d’hier a également servi de cadre d’identification des goulots d’étranglement, tels que l’asymétrie d’informations entre les clients et les banques, l’indisponibilité des informations sur les comptes, les tarifications bancaires et les coûts de crédits.

Pour la cheffe du Département des politiques des partenariats et de la Coordination des interventions au Secrétariat permanent de la promotion de l’inclusion financière, Nikima Corine, à la tête de la délégation burkinabè, son pays ne pouvait pas choisir meilleur partenaire que le Sénégal.

« Dans le cadre la stratégie nationale de l’inclusion financière, nous allons vers la mise en place d’un observatoire de la qualité des services financiers. C’est pour cela que nous sommes venus profiter de l’expérience sénégalaise. C’est le précurseur dans la sous-région. Nous avons également le même environnement. Donc, exemple ne pouvait être plus pertinent », a souligné Mme Corine.

La Côte d’Ivoire est le deuxième pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) à se doter d’un OQSF. L’objectif final est d’en disposer un dans chacun des pays qui composent la zone Uemoa.

L’Observatoire de la Qualité des Services Financiers (OQSF) est un organisme public qui trois fonctions essentielles: promouvoir la qualité des services financiers ; favoriser l’amélioration de la qualité de la relation entre opérateurs de services financiers et usagers et assurer la mission de médiation.

Source : agence de presse financiere

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Une délégation burkinabè est en séjour à Dakar pour s’inspirer de l’expérience sénégalaise en vue de mener à bien son projet de mise en place d’un Observatoire de la qualité des services financiers (OQSF).

Le Sénégal dispose d’une longue expérience de médiation dans les litiges opposant les citoyens et les promoteurs des services financiers.

Selon le Directeur exécutif de l’OQSF Sénégal, Habib Ndao, grâce au « travail important » abattu par son organisation, « les banques et les assurances ont fait des efforts importants et sont devenues plus réceptives qu’auparavant. Une clientèle exigeante et des produits nouveaux ont vu le jour. Nous avons réussi à dénouer des litiges financiers qui auraient pu atterrir devant les tribunaux. Donc l’expertise est là. »

Cela justifie l’intérêt du Burkina Faso dont une délégation d’une dizaine de personnes a rencontré, jeudi soir, les associations des consommateurs sénégalais et l’OQSF pour échanger sur les modalités de l’installation d’un Observateur de la qualité des services financiers, l’identification et l’exploration des pistes de collaboration.

La rencontre d’hier a également servi de cadre d’identification des goulots d’étranglement, tels que l’asymétrie d’informations entre les clients et les banques, l’indisponibilité des informations sur les comptes, les tarifications bancaires et les coûts de crédits.

Pour la cheffe du Département des politiques des partenariats et de la Coordination des interventions au Secrétariat permanent de la promotion de l’inclusion financière, Nikima Corine, à la tête de la délégation burkinabè, son pays ne pouvait pas choisir meilleur partenaire que le Sénégal.

« Dans le cadre la stratégie nationale de l’inclusion financière, nous allons vers la mise en place d’un observatoire de la qualité des services financiers. C’est pour cela que nous sommes venus profiter de l’expérience sénégalaise. C’est le précurseur dans la sous-région. Nous avons également le même environnement. Donc, exemple ne pouvait être plus pertinent », a souligné Mme Corine.

La Côte d’Ivoire est le deuxième pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) à se doter d’un OQSF. L’objectif final est d’en disposer un dans chacun des pays qui composent la zone Uemoa.

L’Observatoire de la Qualité des Services Financiers (OQSF) est un organisme public qui trois fonctions essentielles: promouvoir la qualité des services financiers ; favoriser l’amélioration de la qualité de la relation entre opérateurs de services financiers et usagers et assurer la mission de médiation.

Source : agence de presse financiere

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